jueves, 17 de febrero de 2011

Roman sentimental


Pour ceux et celles que le genre sentimental intéresserait


MARY, JULES : La Pocharde - Romans
http://www.ebooksgratuits.com/pdf/mary_la_pocharde.pdf

Le regard franc et droit de Charlotte Lamarche dit tout de suite la probité de sa vie, la noblesse de son caractère, et son front indique une intelligence large, une volonté ferme. Très jolie et robuste, bien qu'elle soit presque trop grande et flexible, cette jeune femme de 24 ans est mère de deux jumelles, Louise et Claire, âgées de six ans, l'une blonde, l'autre brune, aux grands yeux limpides : deux yeux très bleus, deux yeux très bruns. Mariée à Georges Lamarche, ingénieur civil, au bout de deux ans de bonheur elle a vu son mari, après la mise en chômage d'une usine dont il était directeur, courir de poste en poste. Sans fortune, et adorant Charlotte, il est allé en Australie, appelé par une société minière. Il en a pour trois ans, quatre ans au plus. Sa maison est accotée à une falaise, derrière laquelle vient d'être construit un four à chaux. Petit à petit, Charlotte ressent des malaises, comme si elle était en état d'ébriété, subit des pertes de connaissance. Un jour, un homme de son âge, amoureux d'elle depuis longtemps, la voit évanouie et la viole. De cet acte naît un petit garçon, Henri. Dans le village où elle vit, elle se voit vite attribuer une réputation d'alcoolique, et les gens lui donne le surnom de «La Pocharde»...



MONTéPIN, XAVIER DE : La Porteuse de pain - Romans
http://www.ebooksgratuits.com/pdf/montepin_la_porteuse_de_pain.pdf

Jeanne Fortier, gardienne dans une usine de Maison-Alfort, mère de Georges et Julie, vient de perdre son mari mécanicien. Elle repousse les avances du contremaître Jacques Garaud. Pour la conquérir, il lui écrit pour annoncer qu'il va faire fortune. En fait, il veut voler à l'ingénieur Jules Labroue son invention. Il incendie l'usine, tue Labroue qui l'a surpris, menace Jeanne, s'arrange pour lui faire endosser la culpabilité du crime, puis s'enfuit en Amérique sous le nom de Paul Harmant. Il passe pour mort. Jeanne est condamnée et perd la raison. Quand la vue d'un incendie réveille sa mémoire, elle n'a qu'une idée, s'évader pour retrouver ses enfants. Hospitalisée à Bicêtre, puis prisonnière à Clermont, elle s'enfuit déguisée en religieuse et se rend à Paris où elle sera porteuse de pain sous l'identité de Lise Perrin...
Attention, sortez les mouchoirs!... Voici du beau, du grand mélo, un archétype du genre. Rassurez-vous, tout se terminera bien pour Jeanne et ses enfants...


Mérouvel
Un lys au ruisseau
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k690638.r=charles+m%C3%A9rouvel.langFR

Abandonnée!
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68960g.r=charles+m%C3%A9rouvel.langFR


Decourcelle
Brune et blonde !!
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5489682w.r=Decourcelle.langFR

GUIDE Présentation des Travaux au 1er cycle

Guide de présentation des travaux au 1er cycle


Département d’études littéraires
Page de titre
Tout travail comporte une page de titre. Cette page indiquera minimalement le nom de l’étudiant et son matricule, le titre du travail, le cours pour lequel le travail a été rédigé et son semestre, la date de remise du travail.

Titre de textes cités
Dans le corps du texte et dans les notes, on utilise l’italique pour les titres de livres, de revues et de journaux et les guillemets français (« x ») pour les titres d’articles, de poèmes, de nouvelles, de chapitres ou de toutes autres parties d’un ouvrage.

Citations
• Les citations de plus de trois lignes sont mises en retrait, sans guillemets.
• Les modifications apportées à une citation sont indiquées par des crochets : [ ].
• Du moment où l’italique est utilisé dans une citation, on indique dans la note si c’est nous (« Je souligne ») ou l’auteur de la citation (« L’auteur souligne ») qui souligne.
• On place la ponctuation après les guillemets de la citation, sauf dans le cas où le signe de ponctuation appartient à la citation, auquel cas la ponctuation vient avant le guillemet fermant.
• L’appel de note est placé à l’intérieur des guillemets français et avant le signe de ponctuation.

Notes infrapaginales
Les notes sont rédigées en bas de page, à simple interligne. Il convient d’éviter d’employer des abréviations pour les maisons d’édition. (Presses universitaires de France plutôt que PUF, Presses de l’université Laval plutôt que PUL…)
• Pour les livres, la note donnera les renseignements suivants dans l’ordre : prénom et nom de l’auteur, titre du livre en italique, lieu d’édition, éditeur, collection entre guillemets français, année d’édition et année de la première édition entre crochets s’il y a lieu, page(s).
Tous ces éléments sont séparés par des virgules.
• Pour les articles, poèmes, nouvelles et autres textes publiés dans une revue, on donnera les renseignements suivants : prénom et nom de l’auteur, titre du texte cité entre guillemets français, titre du périodique/revue en italique, volume s’il y a lieu, numéro s’il y a lieu, année, page(s).
Tous ces éléments sont séparés par des virgules.
• Pour un texte tiré d’un ouvrage collectif, on donnera les renseignements suivants : prénom et nom de l’auteur, titre entre guillemets français, nom du directeur de l’ouvrage collectif précédé de « dans » et suivi de la mention dir. entre parenthèses (dans x (dir.)), titre de l’ouvrage en italique, lieu d’édition, éditeur, collection entre guillemets français, année, page(s).
Tous ces éléments sont séparés par des virgules.

Citations tirées d’un même texte
Recourir aux abréviations d’usage : ibid., op. cit., loc. cit.
• Quand le nom de l’auteur et le titre de l’ouvrage cité sont les mêmes que dans la note qui précède immédiatement, on utilise, pour l’occurrence suivante, l’abréviation latine ibid. en italique, suivie du numéro (ou des numéros) de la page (ou des pages) concernée(s). Si c’est la même page, il suffit d’indiquer Ibid.
Exemple : Ibid., p. 54.
• Quand le même ouvrage est cité à plusieurs reprises, mais non de façon immédiate, on trouve, dans l’ordre et séparés par une virgule, pour la prochaine occurrence, le prénom complet et le nom de l’auteur, l’abréviation latine op. cit. en italique, le numéro (ou les numéros) de la page (ou des pages) concernée(s). Remarque : L’abréviation op. cit. peut être remplacée par l’abréviation loc.cit. dans le cas d’un article de périodique.
Exemple : Louis Rousseau, op. cit., p. 237.
• Si plusieurs ouvrages d’un même auteur sont cités, on indique, dans l’ordre et séparés par une virgule, le prénom complet et le nom de l’auteur, le titre de l’ouvrage en italique (ou le titre de l’article entre guillemets), la mention op. cit. (ou loc. cit.), le numéro (ou les numéros) de la page (ou des pages) concernée(s). Vous pouvez abréger le titre de l’ouvrage, à condition d’être
cohérent et de le faire à chaque fois.
Ex. : Pierre Nepveu, Intérieurs du Nouveau Monde, op. cit., p. 186.

Bibliographie
Une bibliographie conséquente accompagne chaque travail. Elle est en ordre alphabétique.
La bibliographie donnera les renseignements suivants :
• Pour les livres : nom de l'auteur, prénom, titre en italique, (dir.) entre parenthèses s’il s’agit d’un ouvrage collectif, lieu, éditeur, collection, année. Tous ces éléments sont séparés par des virgules.
Ex. : Nepveu, Pierre, L’écologie du réel. Mort et naissance de la littérature québécoise contemporaine,Montréal, Boréal, coll. « Compact », 1988, 146 p.
Fortin, Nicole et Jean Morency (dir.), Littérature québécoise. Les nouvelles voix de la recherche, Québec,Nuit blanche éditeur, 1994, 208 p.
• Pour les textes publiés dans une revue : nom de l’auteur, prénom, titre du texte entre guillemets,titre du périodique/revue, volume, numéro, titre du numéro si existant, année, pagination entière du texte cité. Tous ces éléments sont séparés par des virgules.
Ex. : Spear, Thomas C., « La plume bifide, le coeur québécois. L’usage de l’anglais chez les écrivains québécois francophones », Globe. Revue internationale d’études québécoises, vol. 4, no 1, « Repaysements
du Québec », 2001, p. 71-91.
• Pour un texte tiré d’un ouvrage collectif : nom de l’auteur, prénom, titre entre guillemets, nom du directeur de l’ouvrage collectif précédé de « dans » et suivi de (dir.), titre de l’ouvrage en italique, lieu, éditeur, collection, année, pagination entière du texte cité. Tous ces éléments sont séparés par des virgules.
Ex. : Rousseau, Louis, « Silence, bruits, liens, citoyenneté. L’espace de la transcendance québécoise », dans Jean-Marie Fecteau, Gilles Breton et Jocelyn Létourneau (dir.), La condition québécoise : enjeux et horizons d’une société en devenir, Montréal, VLB éditeur, 1994, coll. « Essais critiques », p. 223-251.